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11 février 2005

01/10/04

Je vis de procuration.

C'est prostitution.

Et alors quoi?

Avoir honte ça résoudra rien.

Être si forte , comme l'homme

qui manque à mes sauvetages pathétiques!

Pleurer de honte et d'épuisement,

parce qu'appeller le main tandue

ce n'est pas être vivant,

ce n'est pas être omnipotant.

Repliée sur soi, désespérée, habitée

couverte de honte.

La porte , j'aurrais voulu la réparer,

pour pouvoir la vérouiller;

mais tout s'est déchiré,

défroqués ils sont entrés

comme si de rien n'était, pour me sauver!

Laches d'épuisement nerveux,

tu croyais quoi?

Pouvoir abattre

le lapin qui mange les carottes

sans avoir à retrouver

les balles mortelles de ta perversion?

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11 février 2005

01/10/04

égo démesuré, vaincre le feu

qui nous a écorché depuis l'utérus.

Mais as- tu vu cette rage éteinte

que la paresse a changé en angoisse?

Défoncé, déchiré, inhibé,

il vaut mieu vouloir être autre

que de se refuser à n'être rien.

Les gènes sont indiscutablent,

et l'expression manque d'ordre,

alors la vie jusqu'au tronion,

c'est se sentir fort par procuration.

Où m'emèneras- tu tramblante

incertitude de pouvoir encore sourir

aux plaisirs?

J'ai pas dis renonciations,

j'ai les yeux en face DU trou,

 du manque de toute substance électrique .

Ton crâne en moi me permetterai

d'être le génie de mon enfance!

10 février 2005

Pourquoi tu es encore là à me regarder pleurer

Pourquoi tu es encore là à me regarder pleurer

sur les tombes , des souvenirs qui m'écorchent.

Traumatisme, le passé est gardé, porte blindée.

Je n'ai pas l'impression de tout étouffer,

juste de saigner.

Je  n'ai ni clefs, ni code

pour tout réouvrir et ne plus crier.

J'avais tant d'espoire, si innocente

bonne volonté, foie en l'homme

tu m'as tué, inondé.

La déchéance, maitresse de notre vie.

La solitude, esquisse notre mort à tous.

10 février 2005

18/11/04

Tu m'éfleure, ce n'est qu'un leure.

Entraine moi où tu voudras.

Pourquoi ça me ronge,

pourquoi érudie, je suis dilem?

Parles- moi, comme tout le temps,

comme si, misérable ma vie

était un gouffre.

Tu ne veux rien entendre,

de moi, de ma vie?

Qu'as tu appris,

des bribes avalées, des murs

ignorés?

Et toujours il faudrait

marcher droit,

et toujours mon avis

 est un frein,

et toujours tu me haie.

Indulgeance aux cris sauvages,

je te déteste mon cadavre!

10 février 2005

27/07/04

C'est devenu bien trop facile,

futile envie de descendre,

plus bas, là bas,

où tout bascule,

où l'on s'encule.

Misérable allion de haine

qui consomme l'abseinte,

ivresse oublier de l'amour

trop peu sussuré.

Au creu de l'oreille,

porte condamnée,

au creu du coeur,

tronion jeté.

Les histoires d'antant sont faites pour êtres oubliées,

acceptez que nul ne pirrait changer.

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10 février 2005

27/07/04

Il me faudrais une bêche,

pour creuser la fosse commune.

Trop de fumée, trop de cachet.

Tout autour, tu t'éteinds,

tout en moi ça déteind.

Un peu de cracha pour que le feu grésille,

hasile, poli.

Des sernes aux creu de tes bras,

des larmes aux creu de tes mains,

et des seins au bout de tes lèvres.

Mais tu verras que personne ne remontera,

que nul n'oubliera,

ces chemains enterrés là bas, près du feux,

où tous se sont éteinds,

où l'on a cessé de vivre.

10 février 2005

24/06/04

C'est le nauffrage dans la  palme, l'asfixie dans l'ame.

Toujours égale à elle même, rejouer le rôle encore enchainé.

Comme si de rien n'était ,

évadée.

Comme si tout bouillonnait,

évantrée.

Comme si tu partais,

lapidée.

"Raconte moi une histoire"

encore une fois  promesse de joie.

Encore une fois,

partir  plus bàs,

là bas,

où tout se terre,

où je m'enterre,

cachée dans le lunseul de ton indifférence.

28 janvier 2005

28 janvier 2005

13/05/04

Comment est ce possible

tout est si futil.

Paisible néant,

possible alliénat.

Angoisse toujours tu me gagne,

dévalorisation, toujours tu me pourchassse.

Chevocher ta gloire , me l'approprier,

au travers de toi je vie ma nudité,

simplicité exorciser,

toujours se dissimuler ,

tout entier,

dans ton orifice salie.

Toujours agoniser,

de ta jouissance ,

féminin, masculin,

je n'ai pas le sexe de mon fantasmle d'enfant.

28 janvier 2005

28 janv. 2005, 12:27 [000elle000]

28 janv. 2005, 12:27 [000elle000]
 
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